Présentation du laboratoire


Le Laboratoire Univers et Particules de Montpellier créé le 1er janvier 2011 est issu de la fusion de deux laboratoires. Il réunit l’ensemble des membres du Groupe de Recherche en Astronomie et Astrophysique du Languedoc (GRAAL) et une partie des membres du Laboratoire de Physique Théorique et Astroparticules (LPTA). Le LUPM est composé d’une soixantaine de personnes.

Le laboratoire est organisé autour de trois équipes de recherche :

– Astrophysique Stellaire (AS),
– Expériences et Modélisations en Astroparticules (EMA),
– Particules, Astroparticules, Cosmologie : Théorie (PACT).

Trois services de soutien à la recherche complètent sa géographie : administration-gestion-logistique, informatique et instrumentation.

Le LUPM est l’UMR 5299, Unité Mixte de Recherche du CNRS et de l’Université de Montpellier. Au sein du CNRS, notre laboratoire est rattaché principalement à l’Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules (IN2P3), ainsi qu’à l’Institut National des Sciences de l’Univers (INSU) et à l’Institut de Physique (INP) en rattachement secondaire.

Le LUPM est une UMR du Pôle de Formation et de Recherche MIPS (Mathématiques, Informatique, Physique et Système), l’un des cinq grands pôles disciplinaires créés par l’Université de Montpellier. Le laboratoire est également une équipe d’accueil de l’école doctorale I2S (Information, Structures et Systèmes).

Le LUPM se consacre à l’exploration de l’Univers, de ses constituants les plus élémentaires à ses plus grandes et plus anciennes structures.

Ses chercheurs étudient l’univers très jeune et la nucléosynthèse primordiale, les particules élémentaires, la matière sombre, les objets à l’origine des rayonnements cosmiques de haute énergie, la structure des étoiles, leur évolution et leur interaction avec le milieu interstellaire.

Le LUPM met en synergie plusieurs approches en astrophysique, physique des particules et des astroparticules, et en cosmologie : théorie, simulation et modélisation, observation, analyse de données, conception et réalisation d’instruments.

Il héberge un noeud du cloud fédéré France-Grilles et contribue à l’Observatoire Virtuel de l’INSU, via la base de données POLLUX.